
Savez-vous pourquoi il faut éviter de dupliquer les calques de Photoshop ? Dans cet article, nous allons voir comment on peut travailler tout en évitant de dupliquer les calques inutilement. En suivant ces conseils, vous pourrez non seulement alléger très fortement le poids de vos fichiers, mais aussi améliorer votre flux de travail .
Vidéo du tutoriel “Arrête de dupliquer tes calques !"
Sommaire
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- 🔄 Introduction
- 🖼️ Illustration avec un exemple concret
- 📂 Ouverture du fichier RAW dans Photoshop
- ⚖️ Poids du fichier avec un calque d’objet dynamique
- 🎚️ Modification des réglages dans Camera RAW
- 🔄 Conversion d’objet dynamique en calque de pixels
- 🔄 Méthode « traditionnelle » avec duplication
- 🎨 Méthode sans duplication de calque
- 🎭 Résultat de chaque méthode
- 📊 Évaluation des résultats obtenus
- 💾 Format d’enregistrement et poids des fichiers
- 📸 En pratique, quels sont les avantages ?
- 🗂️ Importance de la gestion des calques
- 🏁 Conclusion
- ❓ FAQ
- 📎 Liens utiles
🔄 Introduction
La duplication de calques est une technique couramment utilisée dans de nombreux tutoriels sur Photoshop, mais elle peut rapidement alourdir vos fichiers. Cette méthode, bien que répandue, n’est pas toujours la plus efficace pour obtenir les résultats souhaités.
Lorsque vous dupliquez un calque, vous doublez le poids de votre fichier. Pour les photographes travaillant avec des fichiers RAW volumineux, cela peut rapidement devenir problématique.
Pourquoi dupliquer les calques est un problème ?
Augmentation significative du poids du fichier
Ralentissement des performances de Photoshop
Complexification inutile de la structure des calques
Consommation accrue d’espace disque
Il existe cependant des alternatives plus légères et tout aussi efficaces pour obtenir les mêmes résultats sans dupliquer inutilement vos calques.
🖼️ Illustration avec un exemple concret
Pour illustrer cette problématique, prenons l’exemple d’une photo du pont Vasco de Gama à Lisbonne. Cette image sera notre point de départ pour démontrer l’impact de la duplication de calques sur le poids du fichier.
Initialement, ce RAW pèse environ 50 Mo. C’est un poids relativement standard pour un fichier RAW de haute qualité.
Méthode utilisée dans de nombreux tutoriels d’autres auteurs
Pour vous démontrer ce qu’il se passe avec la taille (le poids) du fichier si on suit la méthode que l’on retrouve dans de nombreux tutoriels sur Internet, j’ouvre le fichier RAW dans Photoshop, il s’ouvre dans Camera Raw. Depuis Camera Raw, je l’ouvre dans Photoshop en tant qu’objet dynamique.
En bas à gauche de l’interface de Photoshop, je choisis d’afficher « Tailles du document ».
Le chiffre de gauche correspond à la mémoire utilisée dans l’espace de travail et le chiffre de droite une estimation du poids du fichier lorsqu’il sera enregistré.
📂 Ouverture du fichier RAW dans Photoshop
Commençons par ouvrir notre fichier RAW dans Photoshop. Pour ce faire, faites un clic droit sur le fichier et choisissez « Ouvrir dans Photoshop ». Le fichier s’ouvrira d’abord dans Camera RAW, l’interface de traitement des fichiers bruts de Photoshop.
Dans Camera RAW, nous allons ouvrir le fichier en tant qu’objet dynamique. Cette option nous permettra de revenir sur nos réglages RAW à tout moment, offrant ainsi une grande flexibilité dans notre flux de travail.
Avantages de l’ouverture en objet dynamique
- Possibilité de modifier les réglages RAW à tout moment
- Préservation de la qualité originale de l’image
- Travail non destructif sur l’image
Une fois l’image ouverte en tant qu’objet dynamique, nous pouvons commencer à travailler sur notre photo dans l’interface principale de Photoshop.
⚖️ Poids du fichier avec un calque d'objet dynamique
Après avoir ouvert notre fichier RAW en tant qu’objet dynamique dans Photoshop, observons l’évolution du poids du fichier avant de commencer à dupliquer les calques.
Initialement, notre fichier RAW pesait environ 50 Mo. Cependant, dès que nous l’ouvrons dans Photoshop en tant qu’objet dynamique et que nous l’enregistrons en format PSD, le poids du fichier augmente considérablement.
Évolution du poids du fichier
- Fichier RAW initial : environ 50 Mo
- Après ouverture et enregistrement en PSD : environ 524 Mo
Cette augmentation significative du poids s’explique par le fait que Photoshop englobe l’objet dynamique dans le fichier PSD, préservant ainsi toutes les données RAW originales.
🎚️ Modification des réglages dans Camera RAW
L’un des avantages majeurs de travailler avec des objets dynamiques est la possibilité de revenir sur les réglages RAW à tout moment. Effectuons quelques ajustements dans Camera RAW pour améliorer notre image.
Ajustements :
- Assombrissement des tons clairs pour faire ressortir les couleurs de l’horizon
- Débouchage des ombres, particulièrement au niveau du ponton à l’avant-plan
- Correction des aberrations chromatiques
- Application des corrections de profil pour les déformations optiques
Ces modifications, bien qu’elles améliorent significativement l’image, n’entraînent qu’une augmentation minime du poids du fichier, de l’ordre de 2 ou 3 Mo environ.
Il est important de noter que ces ajustements sont non destructifs lorsqu’ils sont appliqués à un objet dynamique. Vous pouvez donc revenir sur ces réglages à tout moment sans perte de qualité.
🔄 Conversion d'objet dynamique en calque de pixels
Bien que travailler avec des objets dynamiques offre une grande flexibilité, il peut être judicieux de convertir votre objet dynamique en calque classique une fois que vous êtes satisfait de vos réglages RAW. Cette conversion peut légèrement réduire le poids de votre fichier.
Procédure de conversion
- Faites un clic droit sur le calque de l’objet dynamique
- Sélectionnez « Convertir en calque »
- Le calque est maintenant un calque normal, sans lien avec les données RAW originales
Après cette conversion, vous constaterez une légère réduction du poids du fichier. Cependant, gardez à l’esprit que vous perdrez la possibilité de revenir sur vos réglages RAW une fois cette conversion effectuée.
Avantages et inconvénients de la conversion
- Avantage : Réduction légère du poids du fichier
- Avantage : Simplification de la structure des calques
- Inconvénient : Perte de la flexibilité offerte par l’objet dynamique
- Inconvénient : Impossibilité de revenir sur les réglages RAW
La décision de convertir ou non votre objet dynamique dépendra de votre flux de travail et de vos besoins spécifiques. Si vous êtes certain de ne plus avoir besoin de modifier vos réglages RAW, la conversion peut être une bonne option pour optimiser légèrement le poids de votre fichier.
🔄 Méthode "traditionnelle" avec duplication
Comparons maintenant en détail les deux méthodes de travail sur Photoshop : la duplication de calques traditionnelle et l’utilisation de calques de réglage. Cette comparaison nous permettra de mieux comprendre les avantages de la méthode sans duplication pour la retouche.
La méthode qui est souvent proposée dans les nombreux tutoriels disponibles sur internet consiste à faire chaque ajustement sur une copie du calque de base.
Densification du ciel
- Dupliquer le calque de base avec Cmd/Ctrl-J
- Convertir la copie en calque de pixels (clic-droit > convertir en calques)
- Appliquer le mode de fusion « Produit » pour densifier le ciel
- Diminuer l’opacité du calque à 50%
Augmentation du contraste
- Créer une seconde copie de ce calque, le remettre à 100% et lui appliquer le mode de fusion « Lumière tamisée » qui va contraster
- Pour n’appliquer ce dernier réglage qu’à la ligne d’horizon, je vais créer un masque noir sur lequel je ne vais révéler que la ligne d’horizon grâce à un dégradé réfléchi de blanc vers transparent
Simulation du soleil
Je vais ensuite créer une troisième copie à partir du calque en mode produit parce qu’il n’a pas de masque et je la place au-dessus de la pile de calques.
Je lui applique un mode de fusion Superposition qui est l’opposé du mode Produit.
Comme je ne veux révéler qu’une partie de cet éclaircissement qui en résulte dans le but de simuler la lumière du soleil, je crée un masque noir avec Alt/option-clic sur l’icone de masque afin que l’effet soit masqué.
Après avoir vérifié que je suis bien sur le masque, je prends un dégradé radial de blanc vers transparent que je vais appliquer dans la zone autour du soleil
Taille du document
Maintenant, je vérifie la taille de mon document après l’avoir enregistré : elle a considérablement augmenté avec un poids de 1,15 Go !
🎨 Méthode sans duplication de calque
Les modes de fusion sont un outil puissant dans Photoshop, et leur utilisation est similaire dans les deux méthodes. Cependant, l’approche avec les calques de réglage offre plus de souplesse.
Je vais effectuer les mêmes opérations que dans l’exemple précédent, mais sans dupliquer les calques et en utilisant des calques de réglages, qui sont ceux qui se trouvent après les trois premiers. Je peux prendre n’importe lequel d’entre eux tant qu’il n’a pas de réglage par défaut comme le calque Noir et blanc ou le Filtre photo.
Assombrissement du ciel
- Je crée un calque de réglage (par exemple, Niveaux)
- Je lui applique le mode de fusion Produit
- J’ajuste l’opacité
J’obtiens exactement le même résultat que lorsque j’ai dupliqué le calque
Augmentation du contraste
- Je duplique le calque de réglage et je remets son opacité à 100%
- Je lui change son mode de fusion pour Lumière tamisée
- Pour que ce soit rigoureusement identique, je copie le masque correspondant sur le premier fichier sur le masque de ce calque de réglage en faisant Alt/Option-clic sur ce masque, puis menu Sélection > Tout sélectionner, puis menu Édition > copier. Je vais dans le document qui contient les calques de réglages, je fais aussi un Alt/Option-clic sur le masque, puis menu Édition > Coller
- Je réactive la photo en cliquant sur le réglage à côté du masque
On constate aussi qu’on obtient exactement le même résultat que sur l’autre fichier
Simulation du halo solaire
C’est la dernière opération pour reproduire ce que nous avons fait en dupliquant les pixels
- Je duplique le calque Produit
- Je le passe en mode de fusion Incrustation et je le mets à 50% d’opacité
- Je le fais glisser en haut de la pile
- Je lui applique le même masque que le calque correspondant sur le premier fichier afin d’être certain qu’il y a exactement les mêmes pixels
Là aussi, le résultat est identique et on le vérifie en plaçant les deux images en mosaïque verticale : il n’y a aucune différence.
Cette méthode permet d’obtenir les mêmes effets que la duplication de calques, mais avec l’avantage de pouvoir modifier les paramètres à tout moment.
🎭 Résultat de chaque méthode
Alors que le premier fichier avec les calques dupliqués était à 1,15 Go, celui qui contient les calques de réglage est passé de 528 Mo avant tout réglage à 531 Mo seulement !
Donc il faut être conscient qu’avec les fichiers Raw actuels dont certains vont jusqu’à 100 Mo, l’espace occupé sur votre disque dur peut devenir considérable au fur et à mesure que vous traitez les fichiers en dupliquant les calques.
L’approche avec calques de réglage offre une flexibilité maximale tout en maintenant un poids de fichier minimal.
📊 Évaluation des résultats obtenus
Après avoir comparé les deux méthodes, il est clair que l’utilisation de calques de réglage présente de nombreux avantages :
Avantages de la méthode sans duplication
- Réduction significative du poids du fichier (jusqu’à 50% dans notre exemple)
- Meilleure organisation des calques dans l’interface Photoshop
- Possibilité de modifier les réglages à tout moment
- Performances améliorées lors de l’enregistrement et du travail sur le fichier
- Flexibilité accrue pour les ajustements futurs
En conclusion, bien que la duplication de calques puisse sembler intuitive, l’utilisation judicieuse des calques de réglage offre une solution plus efficace et flexible pour la retouche photo professionnelle. Cette approche vous permettra de travailler plus efficacement tout en conservant une qualité d’image optimale.
💾 Format d'enregistrement et poids des fichiers
L’optimisation du poids des fichiers Photoshop est importante à considérer, car si vous gagnez 1 Go par fichier psd, sur 50 fichiers, vous aurez économisé 50 Go d’espace disque.
Donc la méthode de travail sans duplication de calques que nous avons explorée offre des avantages significatifs en termes de gestion de l’espace disque et de performances.
On peut se demander si on n’aurait pas avantage à enregistrer en TIFF plutôt qu’en PSD ou PSB. Vérifions s’il y a quelque chose à gagner de ce côté-là.
Comparaison des formats d’enregistrement
Examinons les différentes options d’enregistrement et leur impact sur le poids du fichier :
- Format PSD : Notre fichier sans duplication de calques pesait environ 531 Mo, contre 1,15 Go pour la version avec duplication.
- Format TIFF avec compression LZW (plus rapide) : le fichier avec duplication atteint 1,99 Go !
- Format TIFF avec compression ZIP (plus performant) : le fichier avec duplication Cette option a permis de réduire le poids d’environ 600 Mo par rapport au TIFF LZW, mais seulement 40 Mo par rapport au PSD avec les calques dupliqués, au prix d’un enregistrement beaucoup plus long.
Il est évident que la méthode sans duplication de calques permet une réduction significative du poids du fichier, quelle que soit l’option d’enregistrement choisie.
📸 En pratique, quels sont les avantages ?
Impact sur l’espace de stockage
La différence de poids entre les deux méthodes peut sembler négligeable pour un seul fichier, mais elle devient considérable à l’échelle d’un projet photographique complet :
Imaginons que vous travailliez sur 10 fichiers PSD. En utilisant la méthode sans duplication, vous pourriez économiser jusqu’à 5 Go d’espace disque. Pour les photographes qui gèrent des centaines, voire des milliers d’images, cette économie d’espace devient rapidement significative.
Performances et temps d’enregistrement
Au-delà de l’espace disque, la méthode sans duplication offre d’autres avantages en termes de performance :
- Temps d’enregistrement réduit : Les fichiers plus légers s’enregistrent plus rapidement.
- Meilleures performances de Photoshop : Moins de données à traiter signifie une navigation plus fluide entre les calques et les outils.
- Chargement plus rapide des fichiers : Particulièrement appréciable lors de la réouverture de projets complexes.
Ces gains de performance peuvent sembler minimes sur un seul fichier, mais ils s’accumulent au fil du temps, améliorant significativement votre flux de travail global.
🗂️ Importance de la gestion des calques
Pourquoi une telle différence de poids de fichier ?
Pour calculer son résultat, Photoshop effectue en permanence une copie fusionnée virtuelle de tous les calques. On peut en créer une à la volée avec le raccourci clavier Cmd/Ctrl-Alt/Option-Maj-E, mais celle qui est créée par Photoshop pour ses calculs n’est pas visible. C’est d’ailleurs pour cela que l’ordre des calques a de l’importance.
Il y a des situations où vous ne pourrez pas faire autrement que de créer une copie fusionnée, comme dans le cas où je veuille par exemple appliquer un filtre Camera Raw.
Mais dans tous les cas, une gestion efficace des calques est importante pour maintenir un flux de travail optimal dans Photoshop, en particulier lors de la réalisation de techniques complexes comme la « suppression personnes photoshop ». Voici pourquoi une bonne organisation des calques est cruciale :
Clarté et organisation
Une structure de calques bien pensée permet de :
- Retrouver facilement chaque élément de votre composition
- Comprendre rapidement les étapes de votre traitement, même après plusieurs semaines
- Faciliter les modifications ultérieures sur des projets complexes
En utilisant des calques de réglage plutôt que des duplicatas, vous gardez une interface plus épurée et plus logique.
Flexibilité accrue
Les calques de réglage offrent une grande souplesse dans votre travail : vous pouvez facilement ajuster les tons moyens ou relever le point noir au niveau du calque de réglage sans avoir à naviguer dans une pile complexe de calques dupliqués.
Si vous avez importé votre photo en tant qu’objet dynamique, vous pouvez même revenir sur le Raw dans Camera Raw après avoir rajouté ces calques de réglage, par exemple pour modifier la balance des blancs.
Optimisation des ressources
Une gestion efficace des calques permet également :
- De réduire la charge sur la mémoire vive de votre ordinateur
- D’accélérer le rendu des modifications en temps réel
- De faciliter l’exportation vers d’autres formats ou logiciels
🏁 Conclusion
En conclusion, l’optimisation des fichiers Photoshop n’est pas seulement une question d’espace disque, mais aussi d’efficacité et de qualité de travail. En adoptant ces bonnes pratiques, vous améliorerez significativement votre flux de travail, vous permettant ainsi de vous concentrer davantage sur l’aspect créatif de votre photographie.
❓ FAQ
Q: La méthode sans duplication de calques affecte-t-elle la qualité de l’image finale ?
R: Non, la qualité de l’image finale n’est pas affectée. Les calques de réglage permettent d’obtenir les mêmes résultats que la duplication de calques, tout en préservant la flexibilité et en réduisant le poids du fichier.
Q: Puis-je appliquer cette méthode à des projets existants ?
R: Oui, vous pouvez convertir progressivement vos projets existants en remplaçant les calques dupliqués par des calques de réglage. Cependant, assurez-vous de conserver une sauvegarde de vos fichiers originaux avant de procéder à ces modifications.
Q: Cette méthode fonctionne-t-elle avec toutes les versions de Photoshop ?
R: La méthode des calques de réglage est disponible dans la plupart des versions de Photoshop. Cependant, certaines fonctionnalités avancées peuvent varier selon la version que vous utilisez.
Q: Comment puis-je gérer les effets complexes qui nécessitaient auparavant plusieurs calques dupliqués ?
R: Pour des effets complexes, vous pouvez combiner plusieurs calques de réglage avec des modes de fusion et des masques. Cette approche offre souvent plus de contrôle et de flexibilité que la duplication de calques.
Q: La méthode sans duplication affecte-t-elle la compatibilité avec d’autres logiciels ?
R: En général, les fichiers PSD créés avec cette méthode restent compatibles avec la plupart des logiciels qui supportent le format PSD. Cependant, il est toujours recommandé de vérifier la compatibilité si vous travaillez avec des logiciels spécifiques.
📎 Liens utiles
FORMATION LIGHTROOM DÉBUTANT :
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FORMATION LIGHTROOM INTERMÉDIAIRE/AVANCÉ :
https://www.olivier-rocq.com/formations-completes/formation-lightroom-niveau-avance/
FORMATION PHOTOSHOP DÉBUTANT :
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FORMATION PHOTOSHOP INTERMÉDIAIRE/AVANCÉ :
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